La volonté de la FFMKR est que l’URPS permette aux kinésithérapeutes d’être mieux respectés, par
- l’amélioration de la confiance dans nos compétences par les pouvoirs publics,
- la prise en considération de notre utilité médico-sociale,
- et une meilleure reconnaissance du coût de notre exercice – en particulier à Paris – comme de la valeur de notre travail en cabinet et à domicile.
Dès mercredi 31 mars, votez !
Partager la publication "URPS : au lieu de chercher à savoir à quoi cela sert, faisons-en ce que nous voulons !"